Maigret et le client du samedi

Georges Simenon, 1962

Un client qui attend tous les samedis et qui traite Maigret comme une sorte de therapeute.

Habitant dans sa propre maison avec sa femme et l’amant de sa femme (et son employé). Prévoyant de les tuer, il est tué lui-même après avoir vendu son commerce à l’employé, mais on retrouve le corps éventuellement

La porte

Georges Simenon, 1961

Une histoire qui me rappelle le 11e de façon très juste.  Mais une histoire étrange, un peu sordide comme tout Simenon, d’un homme amputé des deux mains, et munis de crochets.

Mais on ressent la vie de couple à Paris dans un appartement et un quartier typique.  Avec le marché, le sens du batiment et des rues.

Maigret et le voleur paresseux

Georges Simenon, 1961

C’est le voleur qui habite avec sa mère, mais aussi avec sa maîtress de temps en temps.  Une sorte de gentleman-cambrioleur, tué. Mais Maigret est généreux avec le butin qu’il retrouve.

Maigret et le clochard

Georges Simenon, 1962

Un clochard frappé à la tête, repêché de la Seine témoin d’une noyade ancienne qui a permis au tueur de marier une femme et hériter la péniche du père.

Mais le clochard refuse de témoigner, et le capitaine de la péniche reste libre.