Salman Rushdie

Salman Rushdie in Spaulding
photo by Robert Gill

What a treat to be able to see Salman Rushdie in person, here in Hanover.  Even though the line to get in stretched all through the Hop to Moore Theater, there was plenty of room.  He is one of the great writers of the Western World, and to see him in person is a great reminder that an author, even a great author, is also a regular person.

After somewhat stumbling introduction by Dartmouth President Hanlon, Salman came to the stage.  He had a couple of brief quotations, and started with a recollection of the stories that his father told him.  These were from many traditions, tradition Indian and also the 1,001 Nights, about which he talked at some length. It turns out that he had just published a book called Two Years Eight Months and Twenty Eight Nights  which adds up to 1,001 nights.

Salman Rushdie
photo by Robert Gill

There was a Q&A time after his presentation, and one of his best comments was about writing what you don’t know, emphasizing the fictional part of fiction.

Dartmouth Now – Oct. 28

Valley News – Oct. 27

 

La prison

Not a Maigret – but a grim policier anyhow, where an unsympathetic narrator is dealing with the arrest of his wife after she murders her sister. But as is often the case in Simenon, it is a sordid tale of infidelity and cruelty, ending grimly.

Maigret hésite

Suite à des lettres anonymes annoncant un meurtre, Maigret va chez l’avoctat Parendon et sa famille à l’avenue Marigny. C’est une adresse bien située, à côté des Champs-Elysées et du Palais de l’Elysée. L’avocat bien connu s’intéresse beaucoup à la pyschologie criminelle, alors que sa femme est une bourgeoise mondaine. Le meurtre se fait pourtant – et il s’agit d’une crime passionnelle après tout.

La main

C’est un roman étrange situé au Connecticut, et avec comme évènement propulseur une tempête de neige, comme nous voyons souvent en Nouvelle Angleterre. Le personnage principal, le narrateur, est un avocat, et en rentrant d’une fête, un ami se perd dans la tempête. Il annonce qu’il va le chercher, mais il attend plutôt dans la grange, et revient plus tard en laissant entendre qu’il n’a rien trouvé.  On retrouve son ami mort de froid plus tard.

Sa femme le soupconne, mais sans le dire. Il établit une liaison, assez ouvertement avec la veuve de son ami, mais sans trop de passion. Finalement il tue sa femme, écoeuré de sa tolérance et compréhension. Et il finira enfermé, mais comme il dit, il l’a toujours été.

L’ami d’enfance de Maigret

Florentin, un ami de lycée de Maigret, vient le visiter. C’est le clown de la classe, et maintenant, 40 ans plus tard, plutôt un raté qui vit au dépens d’une femme Josée. Celle-ci est tuée, et c’est la raison de sa visite. Maigret découvre qu’elle avait 5 amants, tous avec la possibilité de l’avoir tué. Le quartier c’est le 9e, 17 bis rue Notre-Dame-de-Lorette.

Le concierge protège le meutrier, et Maigret le sait, mais il n’arrive pas à la faire débroncher.

Finalement, il découvre qu’un des amants aurait essayé de tuer Florentin, qui faisait du blackmail, mais aurait tué Joséphine par erreur.